[015] [SERPENTARD] Sidheag Mcnery

- IDENTITÉ DU PERSONNAGE -

Nom : Mcnery
Prénom : Sidheag Ethel Gràinne
Prononciation : Sid-higue ételle greyinne Macnéri
Âge : Dix-sept ans.
Date de naissance : Vingt-Cinq Décembre 1925
Lieu de naissance : Edimbourg - Ecosse
Origine : Ecossaise
Ascendance : Sang Pur
Baguette Magique : Elle est en bois de vigne et contient un nerf de coeur de dragon. Cette baguette a très bien choisie son possesseur étant donné que le dragon représente la force de Sid', sa malice, son courage, elle tout simplement. Elle est très souple et très maniable.
Signification des Prénoms : Sidheag signifie "Wolf" - Loup.
Ethel n'a pas de signification particulière.
Gràinne veut dire "she who inspires terror" - Elle, qui inspire la terreur.
Famille : Un demi-frère, Alvin, qu'elle n'a jamais vu.
Ascendance : Fille de Blair McAdams et de Deirdre Mcnery
Résidence : Victoria Street - Edimbourg - Ecosse

Maison souhaitée : Pour le respect de l'histoire, Serpentard. (Désolée d'avoir imposé le choix >.<)


- DESCRIPTIONS DU PERSONNAGE -

Physique :
« C'est une poupée qui fait non non ... » Je ne suis pas comme les autres. Je suis une poupée. Une poupée de porcelaine. La nature m'a donnée le pouvoir d'éblouir et m'en a donné les moyens grâce à mon physique. Je ne m'en vante pas, vous le verrez vous-même. Je possède, tout d'abord, de magnifiques cheveux blonds qui me tombent sur les épaules avec grâce. Je les attache rarement, préférant les laisser libre au vent et ainsi ils suivent la cadence de mes pas avec élégance. Mais il m'arrive parfois de les emprisonner d'un petit ruban blanc ou noir, de les attacher en longue queue de cheval ou en chignon mal fait leur donnant un aire royal. Ou presque. Lorsque l'on me voit, on s'accroche directement à mon regard. Oui mon regard et non mes fesses. Bleu, vert ? J'ai de magnifiques yeux bleu-vert, couleur de mer du sud, dans lesquels on aimerait s'y attarder. Bleu divin, vert éphémère, la couleur de mes yeux change selon la luminosité. Au soleil, ils sont d'un bleu outremer, ciel et oiseaux, alors que les autres fois ils seront plus tôt vert/bleu mer enragée. Mon regard peut vite passer d'un geste amical, tendre et doux au regard noir, plein de haine et de vengeance. Blanc, bronzé ? Tout le monde à déjà vu une poupée de porcelaine ? Ces poupées que l'on tient délicatement dans ses bras, sans trop serré de peur de la casser. Ces poupées à la peau blanche, au léger maquillage clair mettant en valeur les traits fins du visage. Je suis une poupée de porcelaine. A la seule différence, que ma peau n'est pas blanche, mais légèrement hâlée presque bronzée qui parvient parfaitement aux traits bien dessinés de mon visage. Je suis belle, presque parfaite physiquement, je le montre, mais je ne m'en vante pas. Tout le monde a quelques petits défauts, des petites poignets d'amour, des problèmes de santé ou autre. Moi ? Je ne sais pas. A vous de me le dire. France ? Qui n'a jamais rêvé d'aller en France ? Y allant rarement, la France est venue jusqu'à moi. Je m'habille sur mesure chez de grands couturiers. Mon pull-over est fait en cachemire et je ne porte jamais de synthétique ou de laine de basse qualité. Je porte des habits qui font pâlir d'envie les autres filles. Bien entendue, rien m'empêche de m'habiller comme toutes les autres, ce que j'ai tendance à faire le plus dernièrement. J'ai des tas de chaussures toutes différentes les unes que les autres. Je privilégie surtout les ballerines noires ou blanches. « Poupée de chiffon, Poupée de son ... »

Caractère :
« - Une petite perle rose pâle devenue noire opaque . » Je ne serais pas par où commencer. J'ai dix-sept et j'ai déjà eu deux vies. Naissance d'une jolie petite fille au grand coeur, avide de savoir, voulant toucher le monde du bout des doigts pour espérer le rendre meilleur par le contact humain. Développement de la personnalité, caractère endurci au charme irrésistible, mais trop mauvais cochon. Je suis née douce, charmeuse, amusante. Jeune demoiselle aux allures folichonnes, coquines, croquant la vie à pleine dents, mais pourtant si triste au regard morose. Etant petite, j'étais sage, comme les posters sur les murs, mais moins bavarde que les portraits comme dans le bureau du Directeur. Quand on est petit on est toujours un peu secret. Moi mon secret c'est que j'étais seule. J'ai appris à grandir ainsi, troquant ma mère contre des tonnes de nourrices toutes incapables les unes que les autres. J'étais sage, gentille, douce, intéressée, comme toutes les autres. J'avais juste l'amour maternel en moins. Au fil de mes années j'ai su me forger un caractère de roche. Pénétrant dans le monde des Serpentards, je devins la jeune fille crainte, la rejetée dans son monde, l'oubliée, celle dont on avait peur, celle qui traînait tout le temps avec sa bande de copains, se moquant des autres, voulant être les meilleurs. Mais si, vous savez, la bande avide de pouvoir, prêt à tout pour réussir. Nous sommes connus pour notre intelligence, nous sommes malins, adroits ... Un jour, on m'a demandé comment je pourrais me qualifier en quelques mots, quels étaient mes défauts, mes qualités ... Je n'en sais pas plus que vous. Enfin si, je devrais le savoir justement, mais je ne saurais pas comment m'exprimer. Commençons par les défauts, vous les oublierai surement après avoir lu mes qualités. Peut-être, peut-être pas. Je suis lunatique, je change d'humeur constamment à cause d'un petit détail qui fait que je bouillonne en à peine une seconde où que je sois toute câline (sans connotations s'il vous plait) en deux temps trois mouvements. On m'a appris à être forte, à enfermer mes émotions, à stopper le temps, à fermer mon esprit, à être rancunière. Je ne supporte pas que l'on me fasse de sales coups si impunément. On me cherche, je trouve et je rends la monnaie de la pièce. Je suis trop lucide, je vois bien trop le monde sous son vrai jour et ceci est un gros défaut. J'aurais préférée être aveugle. Je suis jalouse, trop protectrice et peut être un peu trop fêtarde et bavarde par moment. Le dernier cas est très rare, on m'entend peu, où juste comme il faut. Et puis mes qualités. Je suis enjouée, sérieuse, amusée, drôle ? Je suis un brin blagueuse. Je suis très proche des peu de gens que j'aime, protectrice au grand coeur, dosant l'amour que je donne aux peu de personnes se vantant de le recevoir et surtout le méritant. Je suis calme, timide par moment. Je protège souvent mes arrières, je ne sors jamais sans ma baguette et toujours la main non loin en cas de problèmes. « - Ne brise pas le charisme de la petite. Elle est bien comme elle est . »

Bienvenue =)
Bonne chance pour la suite

Merci à toi (:
Je terminerai demain, l'heure se fait tardive.

Oh c'est Ted Lupin de HE =D

Bienvenuuue =D
Pareil, bonne continuation :p

C'est bien moi
Aurais-je affaire à un(e) HE ? & Merci (:

Yeaah Phaedra :p
Et Evalya plus haut x)

Derien =D

Je vais pas être si dépaysée que ca
Allez, je finierai demain.

Bienvenue à Poudlard Sidheag

J'aime beaucoup l'avatar , il est très simple&naturel ^^.
Sur ce, je te souhaite la bienvenue sur M&M Sigheag. Bonne chance pour le restant de ta fiche, nous avons hâte de t'avoir en DJ :] .

Histoire :
« - Et nuit, on le dit comment en écossais ?
- Oidhche. C'est du gaélique, plus précisément.
- Pardon. Et jour ?
- Latha. »

« - Nom, Prénoms, Age & Origine s'il vous plait.
- Mcnery Sidheag, dix-sept ans, écossaise.
- Noms & professions des parents.
- Blair McAdams, décédée, ancienne Auror et Deirdre Mcnery, fait parti de la Confédération internationale des mages et sorciers.
- Vous pouvez vous asseoir avec les autres, on vous appelera. »

Rien ne peut être plus stressant que d'attendre dans une salle, entourée de tas de gens différents révisant une dernière fois ce qu'ils vont dire, apprenant par coeur la feuille qu'ils tiennent devant eux, jouant avec le cordon de leur blouson ou leur chewing gum. Qu'attendent-ils tous avec leurs airs défaits ? Tapant du pied machinalement, trop stressés pour rester calme. Et moi qu'est-ce que je fais ici, parmi tout ces gens inconnus au bataillon, humant mon odeur de jeune fille sortie tout droit de l'école, me dévisageant comme de vulgaires bêtes enragées ? Cette question je me la suis posée des centaines, si ce n'est des millions, de fois. Jamais une réponse, aussi minime soit-elle. Rien. La salle d'attente est comme le quai de la gare. Il y'a du monde, le temps passe au ralenti, des bagages, des aiguilles qui ne tournent jamais, des trains, des jeunes, des vieux et il y'a moi. Perdue entre le désir de me fondre dans la masse où de rester à l'écard. Attend voir, écoute mon histoire. Je vais te la comter comme un écrivain aurait écrit son autobiographie. Je suis née par un jour de neige, de rire et de bonheur. Vingt-cind décembre à 4h13. Qu'il y a t-il de plus magnifique que de naître le jour de noël ? On s'en sentirait presque plus puissante, de ce dire que l'on est bénie des Dieux. Parfois, cela peut être l'inverse. J'ai commencée assez mal ma vie. On ma mise face à un dilemne. Le mien et celui de mes parents. J'ai anticipée les choses, cosant la peine de mon géniteur. Mon père n'est autre que Deirdre Mcnery. Sa famille est de sang pur depuis des générations, ils ont tous travaillés au Minestère De la Magie, où presque. Ma mère était Mélicia Grace Glashow. Ancien médecin aux plantes bien faisantes, elle est décédée en me mettant au monde, préférant donner la vie, perdre la sienne que celle de son enfant. Ils n'avaient pas le choix, c'est ce qu'ils ont dit. Trop impatiente de découvrir le monde extérieur, je suis sortie trop tôt, elle en ai morte de complications incurables par les médecins du monde magique. C'est ce qu'ils ont dit. Ils ont fait comme dans les films tu sais, ils ont rejoints mon père dans la salle d'attente de Sainte Mangouste, la veste pleine de sang, le masque autour du cou et ils ont même enlevés leurs bonnets en entrant dans la pièce. Ils ont fait la mine dépitée, mi peinée, mi tragique. Et puis ca c'est déroulé comme dans un mauvais épisode. Tu sais, le héros meurt, et les méchants triomphes. Ma mère est morte, moi je suis née et mon père m'a accueillie avec le peu de force qu'il lui restait tout au fond de son coeur et de son âme. C'était trop compliqué. C'est ce qu'ils ont dit. Une enfance mal déglutie, des conneries en travers la gorge et un coeur débordant d'amour en vers le seul parent qui me restait. Ma mère aussi était de sang pur. Moi aussi je le suis maintenant. De ma naissance à mes quatre ans, mon père a essayait de m'élever tant bien que mal. Changeant nourrice sur nourrice ne trouvant jamais la perle rare. J'étais précose pour mon âge. J'ai su parler et marcher assez tôt. Au fur et à mesure que je grandissais, j'ai su alléger les bras et le dos de mon père, m'occupant des tâches de la maison. On me traitait en grande personne, j'ai jamais su ce que c'était la vraie "jeunesse". Je sortais souvent dans les parcs à jeu aux jardins verts, mais je ne jouais jamais à la poupée où quoi que ce soit. Le nez toujours plongé dans un livre, voulant toujours plus, m'accrochant au peu de lumière que j'avais pour garder la tête hors de l'eau. Mais sans mère, on ne peut pas vivre correctement. Mon père m'a envoyée dans une "école primaire" moldue jusqu'à mes dix ans. A la sortie de l'école, les petites filles aux robes à fleurs sautaient et riaient dans les bras de leurs mères. Moi je les regardais, un pincement au coeur, et je marchais silencieusement aux côtés de ma nourrice du moment. Qu'il y a t-il de plus affreux qu'une enfance perdue à cause d'une naissance mal passée ? A mes onze ans, on m'envoya à "Poudlard". Ecole de sorcellerie réputée où j'appris à me servir d'une baguette, de potions, de formules magiques. Mon père croyait que l'on m'enverait à Serdaigle voir Gryffondor, comme lui, mais le Choixpeau avait du faire une erreur de programmation. Ma maison fut choisie pour mes sept années d'études. Aucune chance de revenir en arrière. Je serai Serpentarde et puis voilà. Qui aurait pu croire que les pas de ma tendre mère se dessinait devant mes yeux encore appeurés ? Malheureusement le caractère de nos jeunes rebelles se sont déteint sur moi. Je me suis forgée mon propre caractère. Passant de la petite fille sage aux couettes mal faites à l'adolescente aux cheveux impécables, aux yeux noir ténébre et la voix effrayant les jeunes premières années. Je n'aurais même pas envie de parler de mes années d'apprentissage. Non, aucune envie. Aujourd'hui j'entame ma septième et dernière année et j'ai comme une impression de peur qui me titille les entrailles.

« - Mademoiselle Mcnery, c'est à vous. »

Liens sociaux : - Son père, Deirdre Mcnery. De sang pur, il est né à Larkhall et a aussi suivit ses études magiques à Poudlard, sur la traces de ses parents. Aujourd'hui, il fait parti de la Confédération Internationale des Mages et des Sorciers.

- Sidheag n'a plus sa mère. Celle-ci est décédée en lui donnant vie de complications incurrables (d'après les medecins de Ste Mangouste). Elle était Auror et fait toujours la fierté de sa fille, bien que celle-ci ne vive qu'avec des souvenirs imaginés.

- Alvin. Sid a un demi-frère qu'elle n'a jamais connu, rencontré, où quoi que ce soit. Il est né d'une aventure entre son père et une doctoresse de soins des plantes. Elle aimerait pouvoir le rencontrer.

- Ses nombreuses nourrices. Dans son enfance, elle a eu une bonne vingtaine de nourrices toutes différentes les unes que les autres, et son père ne les trouvait jamais à goût, si bien qu'il les remplaçait toujours jusqu'à ce que sa fille soit en âge de se débrouiller par elle même.

- Elle n'a pas beaucoup d'amis, pour pas dire "très très peu". Son cercle amical s'étant arrêté à son chat, son hiboux, ses activités. Bien sur, Sid est très sociale, mais elle n'a jamais vraiment aimé le rapport humain.


Gouts : Elle aime la pluie, sentir les millions de gouttes glisser lentement sous le col de sa cappe pour embrasser délicatement sa peau frêle jusqu'au bas des reins. Elle aime marcher pieds nus dans l'herbe sèche ou non. Le Quidditch, la lecture, les films d'horreur sont ses passes temps dits normaux. Laissez Sid près d'un Lac, le vent dans les cheveux, la pluie tombant en averse, et elle vous sera plus que reconnaissante du peu de bonheur que vous lui apporterez.

Hobbies : Sid est une des nombreuses partisantes du Quidditch. Depuis sa tendre enfance, ses deux parents et son beau-père l'ont ignitiée à cet art si ancêstral. Elle a toujours voulue tout savoir sur ce sport sorcier, tout sur les moindres détails. Dès sa première année au collège, elle est immédiatement entrée dans l'équipe, faisant profiter ses coéquipiers de sa grande curiosité et surtout de son agilité en tant qu'attrapeuse.
Grande lectrice, elle aime se plonger dans la lecture d'un bouquin à l'ombre d'un vieil arbre, se donnant à ce plaisir apprécié depuis qu'elle est en âge de lire. N'étant pas difficile, vous pouvez très bien la voir lire un très bon livre aux bonnes critiques, tant bien qu'un livre de cours barbant, où un navet.
De part sa passion pour le Quidditch, elle adore voler et surplomber les alentours si elle peut, même si le vol est très restreint. Voir le monde d'en haut à toujours était une gourmandise de sa part et elle ne pourrait s'en priver.

- POUR EN SAVOIR PLUS -

Année D'Étude : Septième Année.
Cours Préféré : Métamorphose et Défense Contre Les Forces Du Mal.
Animal Préféré : Le Chat et le Loup.
Autres : - Possède un jeune chat, de sexe masculin, d'un an et demi au magnifique prénom de Sorcha (signification : La lumière). Il a des yeux d'un bleu étincelant et un pelage aux couleurs du grand nord : Blanc crème et gris pâle.

- Possède aussi un hiboux grand Duc. Cadeau de son père pour se faire pardonner de ses absences à répétition. Sans succès.

- Sidheag est une animagus. Histoire dure à croire me direz-vous, mais c'est pourtant vrai. Elle est née avec un cerveau d'animal, ce qui fait qu'elle peut se transformer. En quel animal ? En loup, bien évidemment. D'où aurait-elle tenu son prénom sinon ? Mais attention, elle maitrise un peu mal sa transformation et évite le plus possible de s'y transformer, surtout pour cet animal.

- Dès que la pluie commence à tomber et que l'orage résonne dans le ciel, vous êtes sûr de la trouver dehors.

Exemple de Post : « Il est comme son père voilà tout. Lupin était connu comme quelqu'un qu'il fallait éviter, je ne doute pas une seule seconde que son fils est hérité des mêmes gênes. Je suis contente que vous me parliez de Ted, j'ai fouillé dans son passé et j'ai découvert des choses incroyables. Savez-vous que ...»
Incompréhension. J'ai parcouru les dernières lignes de l'article, ne savant quoi penser. La gazette était là, étendue devant mes yeux, offrant son trop plein de potins, et je restais là, fixant mon passé transformé en un tissu de mensonges que cette foutue Skeeter à encore pondue. Les mots se bousculaient dans ma tête, blessant, m'arrachant le peu de souvenirs que je m'étais imaginés. L'article pourtant fini, je ne pouvais décrocher mon regard du journal, de la photographie ornant la page, placée sous le gros titre. Une des rares photographies de mes parents que je n'avais pas encore vu. J'ai arraché la photographie sur la page, la pliant en quatre pour la cacher dans une de mes poches. J'ai refoulé un sanglot au plus profond de mon âme, ravalant ma fierté. La Gazette termina en une grosse boule de papier, traversa la pièce d'une vitesse fulgurante pour aller s'écraser sur la paroi de la cheminée. « Je vais lui faire avaler sa plume à papotte à celle là ! » En quelques mots, en peu d'expressions, en diverses phrases elle avait salie la mémoire de mes parents, obligeant les autres gens à lire un ramassi de foutaises. J'en avais lu des choses, oh oui, mais là elle allait trop loin. Par un sort non prononcé, la boule se transforma en une parfaite flamme brillante et rouge de colère.

La pluie me tira de mes folles pensées. Battant contre les vitres de la salle commune, s'étalant sur tout le domaine, s'écrasant délicatement sur le sol. Le souffle court, mon coeur tambourinant la poitrine, mes veines battant mes temps, j'ai laissé derrière moi la boule de feu se consummer et je suis sorti dans les couloirs encore froid du début de matinée. Personne. Une musique s'intalla dans ma tête, m'invitant à me libérer, à souffler, à respirer. Je lui ferais payer. Le regard droit devant moi, marchant à l'inconnu, j'ai laissé mes doigts effleurer le fin papier sur laquelle se trouvait mes parents. L'âme déchirée, écoutant le clapotement des gouttes de pluie sur le toit, sur les vitres, ou encore celles s'écrasant contre la pierre usée. J'ai descendu les escaliers quatre à quatre, voulant m'échapper le plus vite possible, ne pouvant plus retenir mes larmes qui me lacéraient les pupilles, me dilatant les iris. Et puis j'ai couru, traversant les corridors et couloirs à tout vitesse sous les regards stupéfaits des tableaux sur les murs. « On ne court pas dans les couloirs jeune homme ! » Mon coeur était prêt à exploser, j'avais peur, j'avais mal, j'aurais voulu partir loin pour respirer. J'attéris dans le hall un peu trop vite, mes pieds glissant sur la pierre. J'aurais pu respirer lentement et profondément, essayant d'oublier ce que je venait de lire mais je ne pouvais pas. C'était la petit goutte qui venait de faire déborder le vase. J'ai vécu seize années de ma vie dans l'inconnue, cherchant la vérité, m'imaginant diverses scènes sous les récits de certaines personnes, mais une imagination ne remplace jamais le réel, et je ne vivrais ma vie qu'avec des souvenirs purement synthétiques. « Mr Lupin, revenez ici s'il vous ... » La voie de la directrice s'est perdue au loin dans le hall, ne l'écoutant pas, passant devant la grande salle encore vide, devant les quelques armures de l'entrée pour enfin me retrouver dehors, la pluie s'imissant petit à petit dans mon cou, glissant le long de mon dos pour arrêter sa course sur le bas de mes reins.

Je me suis arrêté sur les pelouses, m'agenouillant sur l'herbe mouillée. Sa fraîcheur me parvint jusqu'aux genoux, dessérant les fibres de mon pantalon afin d'y faire pénétrer l'eau. Pleurer sous la pluie ca fait du bien. Nos larmes se confondent avec les milliers de petites gouttes, elles nous font oublier toutes sortes de choses, glissant avec délicatesse sur notre peau, nous inssitant à respirer lentement. Je cueillais l'eau au creux de ma main, la refermant sur ma paume. Les yeux fermés, j'écoutais en silence leurs courses provenant du fin fond des nuages pour venir s'écraser sur un sol déjà humide. La pluie est bon remède pour s'évader du monde autour.

- HORS JEU -

Personnalité sur l'Avatar : Keira Knightley
Avis sur le Forum : Je suis tombée sous le charme du design et du contexte (:
Présence sur le Forum : 1hoo par jour. Présente week-end et vacances hors révisions examens.

Le Choixpeau chuchota quelque chose à l'oreille du Professeur. McGonagall, qui ne put retenir un grand éclat de rire. Que-quoi ? Pardon ? McGonagall & le verbe "to Rire" ? Le Choixpeau Magique reprit à son tour son sérieux puis, cligna plusieurs fois ses "pseudo-yeux" qui n'étaient en fait que des entailles dans du tissu. Voyons voir ce que cette nouvelle élève avais dans l'crâne ...

« Dites-moi, Mcnery, j'ai cru comprendre qu'à l'adolescence vous avez changé du tout au tout. De l'âme innocente à quelque chose de plus sombre, cachant des marques, si flou pour vous donc si flou pour moi. Est-ce une période passagère de votre vie où cette plus forte personnalité se résume par l'évolution personnelle de votre personne ? »
(...)

« Si vous vous trouviez devant des détraqueur, quel serait votre patronus ? »
(...)

« Un mot, un seul, qui vous décrit sous tout vos aspects. »
(...)

Elle s'avança, le coeur lui tambourinant la poitrine, vers le petit tabouret de bois où elle y pris place. Le professeur McGonagall s'approcha vivement d'elle, le chapeau en question à la main pour venir lui poser sur la tête. Quelle sensation étrangère que de sentir un chapeau de cuir vieilli en vie sur sa petite tête brune.

« Dites-moi, Mcnery, j'ai cru comprendre qu'à l'adolescence vous avez changé du tout au tout. De l'âme innocente à quelque chose de plus sombre, cachant des marques, si flou pour vous donc si flou pour moi. Est-ce une période passagère de votre vie où cette plus forte personnalité se résume par l'évolution personnelle de votre personne ? »

Vous savez, mon enfance n'a pas était si facile, comme vous pouvez le lire dans mes plus sombres pensées. Personne ne peut contrôler sa vie, et donc je n'ai pu contrôler la mienne. J'ai laissé filer mon destion entre mes doigts. Il n'y a pas eu d'évènements particuliers en ce qui concerne mon changement de personnalité. J'ai toujours était habituée à vivre dans le noir et mon changement c'est fait petit à petit, comme si c'était prédit dit-elle d'un ton calme et posé, le coeur si serré qu'il serait prêt à exploser dans sa poitrine à demie gonflée.

« Si vous vous trouviez devant des détraqueur, quel serait votre patronus ? »

J'ai toujours été representée par le loup, cela ne m'étonnerai pas que mon Patronus en soit un, même si j'ai un doute. Je pense à deux cas différents. Soi il serait un loup, ma répresentation personnelle, soi il serait le contraire de mon caractère. Je penserai donc un animal calme, calineux, marqué d'un bonheur semi compréhensible. Le chat par exemple.

« Un mot, un seul, qui vous décrit sous tout vos aspects. »

Sidheag ferma les yeux un instant, cherchant un mot qui pourrait en dire long sur elle même. Un mot qui résumerai, en gros, tout ce qu'elle a vécu, tout ce qu'elle rescent, dans les moindres détails. Elle prit une profonde respiration, ouvrant les yeux et scrutant les élèves devant elle qui la regardaient avec assistance. Je dirais : hostile.

« Tu en as l'instance, la ruse, le charme. Sous le signe du serpent, ta future maison seras ... »

(un peu à ta demande ;p)
SERPENTARD !